Les soins de santé canadiens doivent se moderniser et suivre les autres pays dans l’approche « public-privé »
Les faits sont clairs : le Canada a besoin d’une plus grande capacité en matière de soins de santé. Les rapports successifs d’instituts de recherche respectés illustrent l’augmentation choquante des temps d’attente à travers le pays pour des chirurgies et des traitements qui sauvent des vies et soulagent la douleur. Pourtant, pas plus tard qu’au début du mois de juillet, un tribunal de la Colombie-Britannique a empêché des patients incapables d’obtenir des soins dans le secteur public d’accéder à des soins privés.
Le Canada est l’un des seuls pays au monde qui n’accepte pas les assureurs privés pour les soins médicalement nécessaires. Dans un rapport récent, l’Institut Fraser a examiné 16 pays et a constaté que, dans l’ensemble, les temps d’attente étaient beaucoup plus courts qu’au Canada, en raison de ces systèmes privés parallèles.
Dans l’ensemble de l’Union européenne, les soins de santé universels comprennent un réseau de compagnies d’assurance maladie privées réglementé par le gouvernement. L’Australie, par exemple, offre une couverture universelle à tous les résidents. Toutefois, les Australiens peuvent souscrire une assurance maladie privée pour bénéficier d’un accès plus rapide aux services non urgents et d’une sélection plus large de prestataires de soins de santé.
« Les assureurs privés agissent comme des partenaires pour assurer une couverture santé optimale », déclare Gino Stirpe, vice-président de VUMI Canada. « Le besoin est là. Les Canadiens cherchent des solutions de rechange pour protéger leur famille – comme les régimes complémentaires offerts par VUMI Canada. Il est temps pour le Canada de se moderniser. Le public et le privé peuvent – et doivent – coexister pour offrir aux Canadiens les soins de santé qu’ils méritent. »
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